Jean-Michel Aulas avait lancé, fin janvier 2011, un « comité de parrainage du stade des Lumières ». Les anti-OL Land lui ont répondu, jeudi 10 février, en lançant le « comité républicain et citoyen de soutien au stade Gerland ».
Ils étaient environ 350 Lyonnais, jeudi 10 février 2011 à Meyzieu, pour se réunir et évoquer l’éventuel futur grand stade de l’agglomération lyonnaise. Un seul mot d’ordre, le « on n’en veut pas ! »
Le OL Land du président du club de foot de Lyon, Jean-Michel Aulas, et du maire de la ville Gérard Collomb, ces associations telles Carton Rouge, le Collectif des Riverains et Usagers Rocade Est ou encore Déplacements Citoyens, ne veulent pas en entendre parler.
Elles estiment d’ailleurs que contrairement aux propos du président Aulas (168 millions d’euros) et du maire (188 millions d’euros), le coût pour les collectivités reviendrait entre 450 et 500 millions d’euros.
2. Création d’un comité
Et trop, c’est trop apparemment, puisque l’actuel stade a beau ne pas figurer dans la liste des stades réservistes pour l’EURO 2016, les anti-OL Land prônent « l’agrandissement et la rénovation de Gerland. »
En réponse au « comité de parrainage du stade des Lumières », ils ont en profité pour créer le « comité républicain et citoyen de soutien au stade Gerland ». Pendant ce temps-là, la déclaration d’intérêt général traîne toujours sur le bureau du secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant…